Les États-Unis engageront un dialogue avec la Russie sur un accord de cessez-le-feu en Ukraine
Le secrétaire d'État Marco Rubio annonce des discussions imminentes alors qu'Ukraine approuve un cessez-le-feu de 30 jours.
SHANNON, Irlande - Les États-Unis s'apprêtent à engager des discussions avec la Russie concernant un accord de cessez-le-feu que l'Ukraine a temporairement accepté pour une durée de 30 jours, visant à mettre un terme aux hostilités dans le conflit en cours, selon le secrétaire d'État Marco Rubio.
Mardi, l'Ukraine a indiqué sa volonté d'examiner une trêve temporaire proposée par les États-Unis, développement qui englobe également des discussions sur la reprise de l'aide militaire de Washington et le partage de renseignements avec Kyiv.
Rubio, lors d'une escale en Irlande, a exprimé son anticipation quant à la réponse de la Russie à la proposition de cessez-le-feu, pressant Moscou de considérer la fin des hostilités. Il a déclaré : "S'ils disent non, il est clair que nous devrons réévaluer notre position dans le monde et quelles sont leurs véritables intentions." Rubio a souligné que des discussions antérieures avec la Russie avaient montré une volonté potentielle de conclure le conflit, mais a noté que tout cessez-le-feu nécessiterait une surveillance pour garantir le respect des engagements des deux parties.
Parallèlement, Emmanuel Macron a convoqué des chefs militaires de 34 États membres de l'UE et de l'OTAN à Paris mardi pour discuter des plans opérationnels visant à renforcer un éventuel accord de cessez-le-feu.
La réunion, classée sous la confidentialité de la défense, visait à évaluer la préparation des alliés à soutenir un cessez-le-feu en Ukraine.
L'engagement de Macron souligne la position proactive de la France en matière de sécurité internationale dans un contexte de tensions croissantes en Europe.
Lors de ses récentes interventions, il a appelé à une reprise des efforts militaires nationaux et à un engagement plus large de la population française en raison des menaces pesant sur la sécurité mondiale.
Des sondages précédents indiquent d'importantes inquiétudes publiques concernant l'expansion potentielle du conflit Russie-Ukraine à travers l'Europe.
De plus, le 12 mars, le Parlement européen a adopté une résolution réaffirmant son soutien à l'Ukraine, mettant en lumière les débats en cours concernant les initiatives de défense européenne dans le contexte des sentiments politiques fluctuant autour de personnalités telles que Donald Trump et Vladimir Poutine.
Ce discours en cours met en évidence les complexités auxquelles sont confrontés les partis de droite à travers l'Europe alors qu'ils naviguent dans leurs positions sur le conflit.
Mardi, l'Ukraine a indiqué sa volonté d'examiner une trêve temporaire proposée par les États-Unis, développement qui englobe également des discussions sur la reprise de l'aide militaire de Washington et le partage de renseignements avec Kyiv.
Rubio, lors d'une escale en Irlande, a exprimé son anticipation quant à la réponse de la Russie à la proposition de cessez-le-feu, pressant Moscou de considérer la fin des hostilités. Il a déclaré : "S'ils disent non, il est clair que nous devrons réévaluer notre position dans le monde et quelles sont leurs véritables intentions." Rubio a souligné que des discussions antérieures avec la Russie avaient montré une volonté potentielle de conclure le conflit, mais a noté que tout cessez-le-feu nécessiterait une surveillance pour garantir le respect des engagements des deux parties.
Parallèlement, Emmanuel Macron a convoqué des chefs militaires de 34 États membres de l'UE et de l'OTAN à Paris mardi pour discuter des plans opérationnels visant à renforcer un éventuel accord de cessez-le-feu.
La réunion, classée sous la confidentialité de la défense, visait à évaluer la préparation des alliés à soutenir un cessez-le-feu en Ukraine.
L'engagement de Macron souligne la position proactive de la France en matière de sécurité internationale dans un contexte de tensions croissantes en Europe.
Lors de ses récentes interventions, il a appelé à une reprise des efforts militaires nationaux et à un engagement plus large de la population française en raison des menaces pesant sur la sécurité mondiale.
Des sondages précédents indiquent d'importantes inquiétudes publiques concernant l'expansion potentielle du conflit Russie-Ukraine à travers l'Europe.
De plus, le 12 mars, le Parlement européen a adopté une résolution réaffirmant son soutien à l'Ukraine, mettant en lumière les débats en cours concernant les initiatives de défense européenne dans le contexte des sentiments politiques fluctuant autour de personnalités telles que Donald Trump et Vladimir Poutine.
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